LE PLUS SOUVENT ON DIT PROGRÈS (TENDRE LA MAIN VERS L’ÉCOULEMENT)
2022
Pièce sonore / Sound Piece
27 min.
2022
Pièce sonore / Sound Piece
27 min.
Le
plus souvent on dit progrès (tendre
la main vers l’écoulement)
est
une
marche sonore prenant
la forme d’un
récit de contamination et d’écoulement. L’attention portée aux flots
souterrains de la ville guide une
réflexion sur
les enjeux politiques et sociaux de la gestion des eaux urbaines. Ancrée dans une relecture de documents issus des archives municipales montréalaises, l’espace y apparaît tel un palimpseste,
où les aménagements successifs de l’aqueux sont restitués
grâce
à l’écoute
spéculative.
Chapitres/Chapters:
I. MARE MOITE (palimpseste)
II. PUBLIC NOTICE (viscères)
III. TENDRE LA MAIN VERS L’ÉCOULEMENT (méditation)
IV. S’ÉBROUER DANS CES EAUX FANGEUSES (économie)
V. UN VASTE BASSIN (watershed mind)
Écouter/Listen
Conception et/and interprétation: Laure Bourgault
Habillage sonore/Soundscape: Justin Leduc-Frenette
Réalisé avec le soutien de/With the support of:
Espace Projet (Le murmure des ruisseau) et/and Est-Nord-Est.
Remerciements à/many thanks to: Catherine Barnabé (Espace Projet), Justin Leduc-Frenette, Camille Richard, Camille Devaux et Richard Noury (Est-Nord-Est), Musée de la mémoire vivante (St-Jean-Port-Joli).
Chapitres/Chapters:
I. MARE MOITE (palimpseste)
II. PUBLIC NOTICE (viscères)
III. TENDRE LA MAIN VERS L’ÉCOULEMENT (méditation)
IV. S’ÉBROUER DANS CES EAUX FANGEUSES (économie)
V. UN VASTE BASSIN (watershed mind)
Écouter/Listen
Conception et/and interprétation: Laure Bourgault
Habillage sonore/Soundscape: Justin Leduc-Frenette
Réalisé avec le soutien de/With the support of:
Espace Projet (Le murmure des ruisseau) et/and Est-Nord-Est.
Remerciements à/many thanks to: Catherine Barnabé (Espace Projet), Justin Leduc-Frenette, Camille Richard, Camille Devaux et Richard Noury (Est-Nord-Est), Musée de la mémoire vivante (St-Jean-Port-Joli).
Le
plus souvent on dit progrès (tendre
la main vers l’écoulement) [Usually
we say progress
(reaching out to the flow)]
is a sound walk taking the form of a tale of contamination and
drainage. A focus on
the city's subterranean flows guides a reflection on the political and social issues of urban water management. Drawing on documents from Montreal's city
archives, urban
space is envisioned as a palimpsest, where successive developments of the
aqueous are restituted through speculative listening.